1914-2014 Cérémonies du centenaire

 

 1914-2014 Cérémonies du centenaire

Été 14 : les derniers jours de l’ancien monde

Le président de la BNF vient de me confirmer que Jean serait une des dix figures célèbres honorées dans le cadre de l’exposition « Eté 2014 : les derniers jours de l’ancien monde » qui aura lieu à la grande bibliothèque Francois Mitterrand du 24 mars au 3 aout 2014. Il en fermera même le parcours

Si vous voulez en savoir plus, allez sur le site :

http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/f.ete_1914.html

Jean-François

La 

Affiche publicitaire de Louis Bombled pour le livre La Guerre de demain par le capitaine Danrit,

grand récit patriotique illustré de gravures et nombreux dessins par P. Couturier, Paris, Fayard, vers 1889

28 juin 1914 : l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche est assassiné à Sarajevo par un nationaliste serbe. Encore un assassinat politique comme l’Europe en a connu beaucoup les années précédentes, spécialement aux confins de l’Autriche-Hongrie. Un simple coup de tonnerre dans un ciel clair… Ce fait divers tragique n’empêche pas l’été de suivre son cours habituel. Les paysans travaillent dans les champs, les ouvriers à l’usine. Les enfants attendent avec impatience la fin de l’année scolaire. Quelques rares privilégiés s’offrent des vacances à Deauville ou sur la Riviera. Le 23 juillet pourtant, l’Autriche adresse un ultimatum à la Serbie. Les hommes politiques, les diplomates, et les opinions publiques ne sont guère inquiets : c’est une crise régionale, qui doit se régler comme les nombreuses tensions précédentes par une conférence de paix. À Paris, les journaux s’intéressent davantage à l’affaire Caillaux. Le Kaiser participe à des régates en mer. Certains esprits clairvoyants s’alarment : Jean Jaurès parle « d’oscillation au bord de l’abîme ». Les nouvelles s’enchaînent, de plus en plus inquiétantes… Une semaine plus tard, le 30 juillet, la Russie mobilise. La machine de la guerre s’ébranle, il ne sera plus possible de l’arrêter. Le jeu des alliances entraîne l’Europe dans une guerre que l’on imagine violente, certes, mais brève…Commence alors « l’ivresse des cris de joie en marchant à l’abattoir » selon les mots de Stefan Zweig, même si la volonté d’en découdre ne caractérise pas toutes les populations, plutôt graves et résignées. Dès le mois d’août, la réalité du conflit apparaît dans sa violence extrême : l’Europe découvre sur son sol la guerre industrielle. Le parcours de l’exposition s’organise autour de la chronologie resserrée des évènements du 23 juillet au 4 août et l’enchaînement des décisions diplomatiques, politiques et militaires qui aboutissent à la conflagration générale. Les répercussions de la crise à l’échelle des individus (célèbres ou anonymes) sont également évoquées, tandis que sept séquences thématiques constituent des approfondissements à la chronologie :
1. Portrait de l’Europe, une longue période de paix

2. Cosmopolitisme culturel et expansion économique

3. Des tensions persistantes en Europe et aux colonies

4. Pacifismes et bellicismes

5. Présence du militaire dans la société

6. Préparer la guerre

7. Les mobilisations.

La fin de l’exposition traite du choc et de la surprise que constituent, au front comme à l’arrière, les premiers effets concrets de la guerre.

 

Exposition dans le cadre  de la Mission pour le centenaire de la Première Guerre mondiale 1914-2014.

http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/f.ete_1914.html

Les personnes qui souhaiteraient en savoir plus sur Jean de la Ville de Mirmont peuvent me contacter et je transmettrai leur question à un de ses descendants que je connais.

 

Drapeau

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